Nous y voilà. C’est ce soir que je vous parle de Shi-Zen. Parce qu’il le vaut bien, un article pour lui tout seul. Farpaitement.
(Apparté : je suis d’un naturel fainéant, faut le savoir. Oui, c’est mal, mais oui aussi, j’assume. Donc, Je ne vais pas insérer le lien vers le site Shi-Zen à chaque fois que je cite son nom. Une fois pour toutes, tenez-vous le pour dit : pour aller voir de plus près, c’est là : Shi-Zen)
Ma rencontre avec le projet Shi-Zen s’est faite au soir d’une journée pourrie. Vous savez, le genre de journée où les merdouilles, sans aucune pudeur, aguichent chaque heure qui passe. Où les trucs pas-dramatiques-mais-super-chiants prennent un malin (et sournois) plaisir à s’accumuler. Bref, où on rentre pompé et morose.
Ce soir-là, donc, je faisais pas grand-chose en attendant l’heure d’aller me coucher et d’étouffer la journée pourrie (bien fait !) sous un oreiller. Et puis j’ai reçu un mail de ma frangine, avec un lien internet, genre « tu devrais aller voir, ça a l’air sympa ». J’y suis allée, donc. Et je suis tombée sur « l’histoire d’une fille » qui présentait un projet hautement sympathique de magazine féminin, un vrai, avec ce qu’on peut parfois y chercher de légèreté et de « tendances ». Mais qui le ferait avec comme ligne directrice de rester éthique, écolo, développement durable, bio, et réaliste (exit les mannequins retouchés et les conseils shopping à 3000 euros la tenue). Tous ces trucs qui sont si facilement galvaudables (ça se dit ? Je décide que oui ! De toute façon faites pas la tronche, vous avez compris), mais si essentiels quand même quand on s’y intéresse en vrai, pas juste pour avoir l’air de.
Cette petite visite sur le site du projet Shi-Zen a sauvé ma journée. Tant et si bien que j’ai répondu au questionnaire genre « étude de marché » disponible sur le site. Et puis j’ai envoyé un mail, aussi, pour dire mon enthousiasme, et que, allez, dans l’élan, parfois, j’écrivais, si y’avait besoin de plumes… Carol Galand, à l’origine du projet, m’a répondu peu de temps après, un mail super gentil.
Je vous passe les détails (ce qui est pour moi un effort surhumain, dites merci, ch’u très forte en détails, d’hab). Toujours est-il que Shi-Zen n’est plus un projet, mais une réalité. Un n° zéro est désormais dispo, et je vous recommande chaleureusement de vous ruer dessus. Moi, j’ai envoyé en son temps un petit texte à Carol, un soir, parce que ça me plaisait, parce que j’avais une idée, parce que pourquoi pas… Et le dit-texte, qui n’avait d’autre ambition que de participer à l’aventure, si ça se présentait, et de n’importe quelle façon, s’est retrouvé édito.
Inutile de dire que je suis extrêmement touchée. Et fière. Et toc ! Ah non, pardon, et pas toc ! (cf slogan juste après. *joke insaïde*)
On se résume, donc : Shi-Zen, le magazine féminin éthique et pas toc, cherche ses lecteurs. Achetez-le, lisez-le, aimez-le, faites-le circuler. A vous de jouer !
*à suivre de près* ^^
RépondreSupprimerSuper! J'irai donc te lire. :-) J'avais vu passer l'info aussi et c'est vrai que ce magazine a l'air intéressant.
RépondreSupprimerGaëlle, tu as oublié une info... celle qui dit que tu seras l'éditorialiste officielle et que tu dois déjà plancher sur le numéro 1 :)
RépondreSupprimerOui j'en ai entendu parler :)Et félicitatons pour l'édito!
RépondreSupprimercool :) je suis allée sur le blog ce matin, j'ai aimé aussi la liberté de ton (pas le rouge)...Une nouvelle corde à ton arc *éditorialiste* ;)je fais passer l'info et puis je vais m'abonner de Mickey ;)bises Maryline
RépondreSupprimerSympa cette revue, j'ai mis un lien sur mon blog et j'achèterai la numéro 0 !
RépondreSupprimerBravo pour l'édito !
En vue de devenir orthophoniste comme toi, (si je ne me trompe pas) j'ai dévoré en un rien de temps ce n°0 et attends avec impatience le 1!!! Entre 2 exams, 2 cours, 2 descentes au ski...tous les moments sont bons pour feuilleter ce magazine et voyager sans bouger, apprendre sans sforcer... fainéante disais-tu ??? :p
RépondreSupprimerJe souhaite sincèrement une bonne continuation à ce magazine!
et un lecteur homme de plus, un...
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